Vous êtes plutôt âne ou plutôt cheval ?
Voilà qui va changer de la sempiternelle question "mer ou montagne ?" et relancer la conversation dans vos dîners mondains...
La prédication de dimanche dernier portait sur Zacharie 9, 9-10, ce passage qui annonce la venue d'un roi humble, juste et victorieux. Jésus incarne ce roi selon Dieu lorsqu'il entre dans Jérusalem monté sur un ânon, le petit d'une anesse.
A l'époque de Jésus, les Juifs attendaient un roi plein de splendeur, un roi dominateur sur les Romains. Et Jésus se présente à eux comme un roi humble, pauvre, qui n'a pas besoin d'une puissance guerrière, parce que par Dieu le Père, il maîtrise tout.
Le prédicateur comparait ce roi de paix, monté sur un âne, avec les rois guerriers, montés sur un cheval.
Il nous a invités à nous souvenir des exploits de Dieu dans la Bible et dans nos vies. Il nous a engagés aussi à ne pas projeter nos désirs personnels sur la Parole de Dieu, mais à être à l'écoute de Dieu : accepter que les plans de Dieu soient différents des nôtres. Enfin, il nous a encouragés à être humbles, à l'image de Jésus entrant dans Jérusalem sur cet ânon, à demeurer dépendants du Seigneur.
Alors entre l'âne symbole de paix et le cheval symbole de guerre, je ne regarderai plus ces animaux de la même façon !